De Royal à Trierweiler : le féminisme comme passe-droits

A la manière des judokas, qui font de leurs faiblesses des forces, Ségolène Royal et Valérie Trierweiler jouent des supposées discriminations dont elles seraient victimes pour s’exposer en victimes de la misogynie. Et tant pis si leur « story-telling » ne tient pas la route comme en l’atteste les atermoiements journalistiques de Valérie Trierweiler. Discriminée. Valérie Trierweiler […]