Depuis l’annonce du décès de notre Jojo national, les mêmes chroniqueurs mondains qui l’on ridiculisé toute sa carrière et qui ont caricaturé ses fans en beaufs sans cervelle, se prétendent désormais tous eux-mêmes de grands fans.
D’un côté, on ne peut qu’être ravi et content pour ses proches de constater un élan national incroyable envers Johnny Hallyday et son oeuvre. Une sorte de communion nationale a lieu depuis qu’on a appris la triste nouvelle, dont on ne peut que se satisfaire.
Pour autant, on aurait préféré que ces célébrations restent dans les rues et chez les vrais fans, car finalement, Johnny n’avait pas besoin de la bénédiction de France télévision pour susciter une émotion nationale magnifique.
Pourquoi alors, ces petits membres de l’intelligentsia de gauche parisienne n’assument-ils plus leur mépris ouvert, qu’ils ont craché à la « gueule » de l’idole et de se fans pendant de nombreuses décennies ?
Certainement pour surfer sur la vague et essayer de détourner une émotion pure et humaine au profit de leurs petites carrières. On aurait presque préféré entendre sur les ondes télévisuelles et radiophoniques les sarcasmes dont les fans de Johnny ont toujours été affublés.
Répugnant !